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Bienvenue chez Flora, le nouveau soin capillaire

Taking Care of Your Hair Throughout Pregnancy & Postpartum
Hair care

Prendre soin de ses cheveux tout au long de sa grossesse & durant le post-partum

La grossesse est une histoire absolument unique à vivre dans l’histoire d’une femme. Neuf mois durant lesquels le corps connaît une adaptation de son métabolisme énergétique, lui permettant de maintenir un nouvel équilibre en tenant compte des changements anatomique et physiologique, pour aider la croissance fœtale.

Le corps de la femme se voit donc bouleversé par ces changements et notamment au niveau des cheveux, avec d’importantes fluctuations tout au long de ces neuf mois de gestation, et après. Chez Flora, notre engagement est de vous proposer une gamme de soin capillaire sans compromis, qui fasse enfin rimer efficacité, clean beauté et sensorialité.

Une marque de beauté dans laquelle vous pouvez avoir entièrement confiance, et cela, à n’importe quelle étape de votre vie, et encore davantage durant votre grossesse. Voici donc nos conseils pour naviguer sereinement dans votre routine beauté et capillaire et prendre soin de vos cheveux tout au long de votre grossesse, et après.

Prendre soin de ses cheveux tout au long de sa grossesse & durant le post-partum

I. Cheveux, hormones & grossesse

Lors de la grossesse, les bouleversements hormonaux peuvent avoir un impact direct sur la qualité de vos cheveux.

A. Le rôle du système hormonal dans l’amélioration de la santé de la chevelure durant la grossesse

Tout au long de la grossesse, on observe chez une majorité de femmes une amélioration significative de la qualité des cheveux qui semblent globalement en excellente santé : les cheveux sont plus forts, plus épais, plus brillants, et offrent une meilleure tenue.

L’épaississement de la chevelure pendant la grossesse est en réalité la conséquence de l'augmentation conséquente du taux d'œstrogène dans le corps (1).
Cette hormone agit en effet positivement sur la phase de pousse du cheveux, durant laquelle les cellules se divisent rapidement. En se fixant sur un récepteur spécifique, les œstrogènes stimulent ainsi la pousse de façon significative.
Ce changement n'est toutefois pas observé par toutes les femmes, la sensibilité de chaque personne aux hormones étant variable.

La perte de cheveux est également moins importante. Alors qu’en temps normal, nous perdons environ 100 cheveux par jour, durant la grossesse, les hormones peuvent réduire cette perte, ce qui signifie que de nombreuses femmes connaissent une diminution notable de la chute des cheveux.

Enfin, la texture des cheveux évolue également durant la gestation. Parfois, ils deviennent plus bouclés ou plus épais, tandis que d’autres femmes rapportent qu’ils deviennent plus lisses.

B. Les actifs à éviter dans vos produits cosmétiques durant la grossesse

La peau est le plus grand organe de notre corps. Elle joue à la fois le rôle de barrière, qui protège notre organisme des agressions et pathogènes extérieurs, mais elle dispose également d’une propriété absorbante. Il en va de même pour le cuir chevelu.

Ainsi, plus qu’à n’importe quel moment de vie, la grossesse est également une période délicate pendant laquelle il faut être particulièrement vigilante sur tout ce que l’on consomme au quotidien, et les produits de beauté n’échappent pas à la règle.

Certains ingrédients cosmétiques peuvent être problématiques pour votre santé, car trop puissants pour votre peau sensibilisée par les modifications hormonales occasionnés par votre grossesse, ou/et aussi dangereux pour le bon développement de votre bébé.

Voici donc les principaux actifs que vous pouvez retrouver dans certains produits capillaires, et qui peuvent s’avérer sensibilisants pour la femme enceinte et toxiques pour le bon développement foetal.

  • Le phénoxyéthanol fait partie de la famille des solvants. Il joue le rôle de conservateurs dans de nombreux cosmétiques. Bien qu’il n'ait pas officiellement été classé en tant que perturbateur endocrinien, de nombreuses études ont montré qu’il peut être toxique aussi bien pour le foie, le sang, que pour le cerveau. Pendant la grossesse, mieux vaut donc éviter l’accumulation de produits cosmétiques qui contiennent cet actif, compte tenu des dommages neurologiques et des perturbations du bon développement qu’il pourrait causer chez le fœtus.
  • Les parabènes sont des conservateurs, utilisés dans les produits d’hygiène et de beauté pour empêcher la prolifération des bactéries, champignons, levures et moisissures. Pendant la grossesse, ils mimeraient l’action des oestrogènes dans le corps, perturbant le bon développement du fœtus. Compte tenu des doutes qui subsistent et par mesure de précaution, il est préférable de les éviter durant votre grossesse.

  • Le formaldéhyde et l'ammoniac que l’on retrouve dans de nombreuses colorations capillaires, mais aussi dans les vernis.

  • Les phtalates sont utilisés pour améliorer la texture du produit, la fixation des parfums et la conservation des produits. Vous les retrouvez notamment dans les après-shampoings ou masques, où ils jouent le rôle d’agent conditionner, pour rendre le cheveu plus souple, plus doux et plus facile à coiffer. Pour les femmes enceintes, il sont à proscrire, ces-derniers pouvant augmenter les risques de fausse couche ou de naissance prématurée. (2)

  • Les rétinoïdes, dérivés de la vitamine A, sont tératogènes, c’est-à-dire qu’ils augmentent le risque de malformation chez l’embryon. Le rétinol, actif star des soins du visage, est également présent dans certaines formulations pour lutter contre la chute de cheveux.

  • Les huiles essentielles, bien que couramment utilisées en cosmétique bio, sont dotées de principes actifs puissants qui pénètrent dans le sang et agissent au niveau de tout l’organisme, et ont donc également une action sur le bon développement de votre bébé. Elles sont donc à manier avec précaution, et même si le risque est théorique, mieux vaut ne pas utiliser d’huiles essentielles durant les 3 premiers mois de grossesse.
À partir du quatrième mois, vous pouvez utiliser des huiles essentielles en usage externe uniquement, de façon prudente et en évitant toujours d’en appliquer sur la zone abdominale et la poitrine. Veillez à toujours choisir des produits faiblement dosés en huiles essentielles (moins de 3%) et de qualité bio.
Elles peuvent en effet traverser la barrière placentaire et perturber le bon développement du fœtus. Elles peuvent aussi causer des contractions utérines, et entraîner des fausses couches ou des accouchements prématurés.
Certaines huiles essentielles sont toutefois à proscrire tout le long de la grossesse. Il faut éviter toutes les huiles essentielles contenant des cétones, et des aldéhydes aromatiques qui sont réputées neurotoxiques et abortives par la destruction du sytème nerveux de l’embryon.
Attention également aux huiles essentielles contenant des phénols, non contre-indiquées spécifiquement, mais ont le risque hépatotoxique est bien présent. On s’abstient enfin d’utiliser les huiles essentielles ayant une action sur le système hormonal, dites « œstrogène-like ».

  • Les parfums : outre les nausées qu’ils peuvent causés, ils peuvent s’avérer allergisants pour les personnes les plus sensibles. Certains même peuvent malheureusement cacher des perturbateurs endocriniens ou des huiles essentielles (LIMONÈNE et LINALOL).

AUTRES ACTIFS À BANNIR DANS VOS COSMÉTIQUES POUR UNE GROSSESSE SAFE & CLEAN:
  • Le triclosan (dentifrice)
  • Les benzophénones (filtres UV dans les crèmes solaires conventionnelles)
  • L’acide salycilique, ou BHA (soins anti-imperfections et anti acné, y compris en cosmétique bio où il est dérivé d'écorce de saule)
  • Les sels d’aluminium (déodorants)

Pour résumer, less is more : moins il y a d’ingrédients sur l’emballage, mieux c’est !

C’est pourquoi chez Flora, aucun de ces actifs n’est présent dans nos soins capillaires. Une gamme que nous avons voulu sans compromis, ni compromission, alliant sensorialité et efficacité, toujours dans le respect de votre peau et de votre santé.

C. La routine Flora pour une soutenir la beauté de ses cheveux tout au long de sa grossesse

L’idée de cette routine est de prendre soin de vos cheveux grâce routine clean, efficace, et sensorielle, qui va venir soutenir la beauté de votre chevelure pour prévenir la chute en post-partum.

  • Le shampoing pour nettoyer en douceur

    Bien qu’il ne reste pas longtemps en contact avec le cuir chevelu, il est important de privilégiez un shampoing sans sulfates afin d’éviter d’irriter et d’altérer la barrière cutanée.
    Nos deux shampoings ont été formulés spécifiquement pour maintenir le pH et le microbiome du cuir chevelu. Ils sont doux et non abrasifs.

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  • Le sérum pour une chevelure en pleine santé

    Le Sérum Desnité, issu de notre technologie moléculaire innovante, stimule la croissance et la densité des cheveux pour les rendre plus sains, plus denses, plus épais, grâce aux micro peptides biomimétiques et des deux complexes brevetés Flora. Il stimule la croissance du cheveu, la synthèse du collagène et la longueur des follicules pileux. Il contribue ainsi à rendre les cheveux plus forts, plus sains, plus denses.

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    • Le masque pour renforcer et optimiser la beauté des cheveux en prévention du post-partum:

      Composé de nos super-ingrédients, le masque Flora Strength répare et restaure les éléments constitutifs et l'élasticité des cheveux de l'intérieur. Il protège également la tige capillaire des dommages, sans alourdir les cheveux, mais en les restaurant et en les renforçant de manière optimale, en les nourrissant, en les rendant doux et en les laissant rebondis. Il permet ainsi d’optimiser la santé de vos cheveux, et de prévenir la chute post-partum.

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      II. Le post-partum : comment accompagner la chute des cheveux ?

      A. Un phénomène avant tout naturel

      La perte de cheveux en post-partum est un phénomène naturel que connaissent de nombreuses femmes après l’accouchement. Cette chute s’explique notamment par d’importants changements hormonaux, souvent accompagnés de hauts niveaux de stress. (3).

      En effet, les niveaux d'hormones pendant et après la grossesse connaissent un grand bouleversement.
      Alors que durant la grossesse, on observe une augmentation progressive des hormones, une fois le placenta retiré à la naissance, les taux de progestérone et d'œstrogènes chutent brutalement, et reviennent à la normale en 2 à 4 jours, après avoir été multiplié par 9 pendant la gestation.

      La prolactine augmente également progressivement pendant la grossesse, pour atteindre une multiplication par 20 à l’accouchement.

      Le stress est également un facteur déterminant dans la chute des cheveux, et s’observe surtout lors du premier accouchement, lorsque le stress émotionnel est plus fort (4).

      Après l'accouchement, la perte de cheveux semble abondante, mais ne représente en réalité que l'élimination des cheveux supplémentaires qui avaient été maintenus en phase de pousse (anagène) durant la grossesse, et n’étaient donc pas tombés à ce moment-là. Au cours des deuxième et troisième trimestres de la grossesse, seuls environ 10% des cheveux sont en télogène, au lieu de 15% en général. (5)

      Pendant les premières semaines après l'accouchement, les cheveux entrent alors en phase télogène (chute) pour atteindre environ 30% en moyenne (soit près de 2 fois plus qu’en temps normal). Ceci explique la chute de cheveux importante observée lors du post-partum, et qui se manifeste généralement deux à quatre mois après l’accouchement, mais persiste rarement au-delà (5).

      Bien que ce phénomène de perte conséquente des cheveux soit naturel, l’idée est de pouvoir prévenir au maximum cette chute, en boostant la repousse, fortifier la fibre capillaire, pour redonner densité, volume et éclat à la chevelure, en nourrissant le cheveu en profondeur.

      B. Opter pour une approche holistique pour maximiser les résultats

      Chez Flora, nous prônons une approche holistique de la beauté, qui commence de l’intérieur, avec les choix que nous faisons dans notre assiette, et s’optimise à l’extérieur, grâce à une gamme des soins capillaires aux formulations hautement efficientes.

      Voici donc quelques vitamines, minéraux, et éléments nutritifs à veiller à inclure dans son alimentation en parallèle de votre routine beauté. D’ailleurs, certains d’entre eux sont également inclus dans les formules de nos soins Flora, pour une action in & out décuplée.

      • Les vitamines du groupe B
        La biotine contribue au maintien de cheveux normaux, car elle régule l’expression des protéines, dont la kératine (6).
        Par ailleurs, le rôle des folates (vitamine B9) et de la vitamine B12 dans la production d'acides nucléiques pour l’ADN suggère qu'ils pourraient jouer un rôle prépondérant dans la prolifération du follicule pileux (7).

        La bonne nouvelle, c’est qu’on retrouve les vitamines du groupe B globalement partout dans l’alimentation. Et notamment dans les céréales complètes, les oléagineux, les légumes verts à feuilles (crucifères, épinards, etc.), la levure de bière, ainsi que les œufs de qualité (grade bio, ou labellisé Bleu-Blanc-Coeur)

      • Le fer
        Pendant le travail une perte importante de sang a lieue. Or, la carence en fer est une des causes principales de la chute des cheveux.
        Bien que le mécanisme d'action par lequel ce nutriment influe sur la pousse des cheveux ne soit pas exactement connu, les cellules du follicule pileux comptent parmi les cellules qui se divisent le plus rapidement dans l'organisme, et la carence pourrait contribuer à la chute des cheveux par son rôle sur une enzyme qui joue sur la vitesse de synthèse de l’ADN (8).

        Quelques aliments qui en sont riches : lentilles, foie, crevettes, agneau, bœuf, épinards, oléagineux.

        Beauty tips : couplez vos apports de fer à de la vitamine C afin d’augmenter son absorption, et limitez la consommation de thé vert, qui joue un rôle antagoniste dans l’assimilation de ce minéral.

      • Le collagène
        Les cheveux sont principalement constitués de kératine. Votre corps utilise plusieurs acides aminés pour fabriquer cette protéine, dont certains, et notamment la proline, se trouvent en grande quantité dans le collagène (9). Par conséquent, sa consommation pourrait fournir à votre corps les éléments de base dont il a besoin pour générer de nouveaux cheveux.

        Quelques aliments qui en sont riches : bouillon d’os, poissons, viandes, volaille.

      • Le zinc
        Le zinc est un composant essentiel de nombreuses enzymes importantes dans la synthèse des protéines et la division cellulaire (10). Il joue également un rôle dans les voies qui régissent le développement du follicule pileux (11).
        La carence de ce minéral peut générer un effluvium télogène (augmentation du phénomène de chute) et des cheveux cassants.

        Nous vous recommandons de consommer régulièrement des fruits de mer, du foie, des légumes secs, des noix, des graines de courge et des céréales complètes comme le riz complet.

      • Les acides gras
        Une carence en acides gras essentiels polyinsaturés, tels que l'acide linoléique (oméga 6) et l'acide alpha-linolénique (oméga 3), peut se traduire par la perte des cheveux. En effet, les acides gras insaturés ont une action modulatrice sur les hormones androgènes, qui favorisent la chute des cheveux (12). De plus, les oméga 6, que l’on trouve notamment dans les œufs, favorisent la pousse des cheveux en augmentant la prolifération des follicules (13)

        Quelques aliments qui sont riches en oméga 3 : huiles végétales (lin, noix, caméline) ; graines de chia, de lin et de chanvre, noix de Grenoble, petits poissons gras (sardines, maquereaux, anchois)
        En oméga 6 : l’huile de sésame, de bourrache, d’onagre, de germe de blé, les graines de courge, de sésame, de tournesol, les œufs, la volaille.

      • La vitamine D
        Des données provenant d'études animales suggèrent que la vitamine D joue un rôle dans le cycle du follicule pileux (14). Des études ont montré qu’il y avait des récepteurs de la vitamine D dans les cellules en phases de croissance du cycle pilaire, ce qui fait que l’apport en vitamine D, outre ses multiples bienfaits pour le capital osseux et le système immunitaire, pourrait booster la pousse des cheveux (15).

        Quelques aliments qui en sont riches : le jaune d'œuf, poissons, morue et huile de foie de morue.

      C. La routine Flora pour prévenir la chute des cheveux et prendre soin de sa chevelure durant le post-partum

       Outre les produits évoqués pour votre routine capillaire durant la grossesse, voici quelques produits qui permettront de faire la différence, pour booster la repousse, fortifier la fibre capillaire, redonner densité, volume et éclat à la chevelure, tout en nourrissant le cheveu en profondeur.

      • Le gommage pour exfolier en douceur et stimuler la croissance du cheveu

        Nos experts capillaires ont conçu le Gommage Doux Détox Quotidien selon les principes de la biomimétique, afin qu’il agisse au cœur du cuir chevelu. C’est là que se niche le secret de la santé et de la beauté du cheveu.
        Il est formulé à partir d’actifs purs soigneusement choisis pour leurs propriétés purifiantes, apaisantes et protectrices. Utilisé lors de votre routine quotidienne ou hebdomadaire, ce soin nettoie et assainit le cuir chevelu, prévenant ainsi l’apparition de déséquilibres capillaires.
        L’idée est ainsi de venir booster la repousse en éliminant les cellules mortes et en venant créer une stimulation du bulbe par massage du cuir chevelu.

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      • Le sérum pour renforcer la fibre capillaire

        En alternance avec votre Sérum Densité, le Sérum Réparateur Miracle sera un allier de choix dans votre routine capillaire post-partum.
        Il est formulé d'après la technologie moléculaire Flora, et est composé à partir de deux complexes brevetés exclusifs, FP5® Biome et FMP10®. Leurs actions combinées stimulent la croissance du cheveu, accroissent sa résistance aux agressions extérieures, structurent et renforcent les fibres capillaires.

        Résultat ? Votre cheveu est en bonne santé et la cuticule bénéficie de l’intervention du sérum, gagne en brillance, en densité et en beauté.

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      • L’après-shampoing pour un cheveu réhydraté et protégé

        Il réunit nos meilleurs super-ingrédients à ces deux complexes Flora, avec une fine sélection d’acides aminés, de biotine, de vitamines et d’acide hyaluronique. Le cheveu est alors réhydraté, protégé, mais aussi repulpé. Il retrouve un beau volume tout en légèreté et il est visiblement plus brillant et éclatant.





        Il recrée une chevelure de jour en jour plus éclatante, du cuir chevelu jusqu’au pointes, et cela, sans jamais alourdir.

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      • Le filler, pour un cheveu redynamisé, et repulpé

         

        Flora a créé les premiers véritables fillers capillaires sans injection. Ils sont enrichis en actifs biomimétiques, qui ont été sélectionnés pour épouser la biologie de votre cheveu. Nos fillers atteignent le cortex de la fibre capillaire et y déposent des actifs fondamentaux. Formulés à partir d’ingrédients naturellement présents dans le cheveu, ils viennent combler les besoins profonds de la fibre.
        Le cheveu est alors redynamisé, avec un effet « botox capillaire » miraculeux.

        Les cheveux, même fragilisés, sont rajeunis, frais et repulpés.

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      Pour un résultat optimal, réalisez votre diagnostic exclusif auprès de nos thérapeutes capillaires et découvrez votre routine sur mesure.

        Disclaimer: toutes les informations données ici le sont à titre indicatif, et ne se substituent en aucun cas à un avis médical.

        Nos Sources

        (1) Piérard-Franchimont, Claudine, et Gérald E. Piérard. 2013. « Alterations in Hair Follicle Dynamics in Women ». BioMed Research International2013: 957432. https://doi.org/10.1155/2013/957432.
        (2) Conclusion d’une étude publiée en juillet 2022 dans le Journal of American Medical Association.
        (3) Mirallas, Oriol, et Ramon Grimalt. 2016. « The Postpartum Telogen Effluvium Fallacy ». Skin Appendage Disorders 1 (4): 198‑201.https://doi.org/10.1159/000445385.
        (4) Rebora, Alfredo. 2016. « Proposing a Simpler Classification of Telogen Effluvium ». Skin Appendage Disorders 2 (1‑2): 35‑38.https://doi.org/10.1159/000446118.
        (5) (1) Piérard-Franchimont, Claudine, et Gérald E. Piérard. 2013. « Alterations in Hair Follicle Dynamics in Women ». BioMed Research International2013: 957432. https://doi.org/10.1155/2013/957432.
        (6) Pacheco-Alvarez, Diana, R. Sergio Solórzano-Vargas, et Alfonso León Del Río. 2002. « Biotin in Metabolism and Its Relationship to Human Disease ». Archives of Medical Research 33 (5): 439‑47. https://doi.org/10.1016/s0188-4409(02)00399-5
        (7) Almohanna, Hind M., Azhar A. Ahmed, John P. Tsatalis, et Antonella Tosti. 2018. « The Role of Vitamins and Minerals in Hair Loss: A Review ». Dermatology and Therapy 9 (1): 51‑70. https://doi.org/10.1007/s13555-018-0278-6.
        (8) Kantor, Jonathan, Lisa Jay Kessler, David G. Brooks, et George Cotsarelis. 2003. « Decreased Serum Ferritin Is Associated with Alopecia in Women ». The Journal of Investigative Dermatology 121 (5): 985‑88. https://doi.org/10.1046/j.1523-1747.2003.12540.x.
        (9) Ward, Wilfred H., et Harold P. Lundgren. 1954. « The Formation, Composition, and Properties of the Keratins ». In Advances in Protein Chemistry, édité par M. L. Anson, Kenneth Bailey, et John T. Edsall, 9:243‑97. Academic Press. https://doi.org/10.1016/S0065-3233(08)60208-9.
        (10) MacDonald, Ruth S. 2000. « The Role of Zinc in Growth and Cell Proliferation ». The Journal of Nutrition 130 (5): 1500S-1508S.https://doi.org/10.1093/jn/130.5.1500S.
        (11) Ruiz i Altaba, A. 1999. « Gli Proteins and Hedgehog Signaling: Development and Cancer ». Trends in Genetics: TIG 15 (10): 418‑25.https://doi.org/10.1016/s0168-9525(99)01840-5
        (12) Liang, T., et S. Liao. 1992. « Inhibition of Steroid 5 Alpha-Reductase by Specific Aliphatic Unsaturated Fatty Acids ». The Biochemical Journal285 ( Pt 2) (juillet): 557‑62. https://doi.org/10.1042/bj2850557.
        (13) Munkhbayar, Semchin, Sunhyae Jang, A.-Ri Cho, Soon-Jin Choi, Chang Yup Shin, Hee Chul Eun, Kyu Han Kim, et Ohsang Kwon. 2016. « Role of Arachidonic Acid in Promoting Hair Growth ». Annals of Dermatology 28 (1): 55‑64. https://doi.org/10.5021/ad.2016.28.1.55.
        (14) Amor, Karrie T., Rashid M. Rashid, et Paradi Mirmirani. 2010. « Does D Matter? The Role of Vitamin D in Hair Disorders and Hair Follicle Cycling ». Dermatology Online Journal 16 (2): 3.
        (15) Reichrath, J., M. Schilli, A. Kerber, F. A. Bahmer, B. M. Czarnetzki, et R. Paus. 1994. « Hair Follicle Expression of 1,25-Dihydroxyvitamin D3 Receptors during the Murine Hair Cycle ». The British Journal of Dermatology 131 (4): 477‑82. https://doi.org/10.1111/j.1365-2133.1994.tb08547.x.